Madame de Arkhamon 2

Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans

Chapitre 2 "Prends-moi dans ta bouche et suce-moi" me dit-il d'un ton qui ne souffre aucune hésitation. J'ouvre la bouche pour accueillir ce membre chaud. L'odeur de son sexe est discrète, comme cachée par un savon de qualité. Je prends son sexe en bouche et lentement je referme les lèvres sur cette colonne chaude, et je commence mes va-et-vient en faisant attention de ne pas le mordre. Après quelques mouvements je le sens se retirer de ma bouche.

"C'est assez pour l'instant. Tu as d'autres choses à faire. Allonge-toi sur le dos sur le banc. Relève les jambes." Je m'exécute et je vois Madame qui s'approche lentement de moi, et qui vient pour se placer sur mon visage. Je vois quelques gouttes d'urine perler sur le haut de ses cuisses, et sur ses lèvres.

"Nettoie petit homme. Lèche bien mes cuisses, et après seulement tu t'occuperas de mon abricot." Je m'exécute, et goûte à son urine légère en nettoyant ses cuisses. Sa peau est veloutée et exhale un parfum délicat. Tout à coup, un bruit d'air se fait entendre, immédiatement suivi d'un claquement retentissant sur mes fesses. Monsieur est en train de me flageller avec un martinet. Je ne peux retenir un petit cri et un mouvement du corps.

"Relève les jambes" me dit une voix autoritaire qui me fait remettre immédiatement mes jambes dans la bonne position. Quant à Madame, elle m'appuie son sexe sur la bouche.

"Allez nettoie bien et ne t'arrête que si je te le dis". Ce faisant, elle se relève et je peux de nouveau parcourir son adorable sexe de ma langue, en nettoyant bien partout toute trace d'urine.

"Maintenant tu vas me faire jouir, mais attention, tu seras noté de 1 à 20. Tâche d'avoir une bonne note sinon il t'en cuira..." Je reprends mes exercices de langue pendant que Monsieur s'amuse à me faire rougir les fesses. Les coups tombent avec une précision diabolique pour ne rien épargner. Bientôt tout mon postérieur est en feu, mais un feu intense et agréable. Madame commence à bouger son bassin, signe que mes caresses lui plaisent. Elle attrape alors mes deux tétons entre ses index et ses pouces, et commence à les tirer doucement, à les tordre et les pincer. Je sens les ondulations de son bassin s'accélérer, en même temps que la douleur aux tétons devient plus intense. J'espère qu'elle atteindra vite son orgasme, car la douleur devient importante.

"Lèche aussi ma petite fleur" dit elle en décalant son bassin pour présenter devant ma langue son anus. Sans hésiter, je commence à lécher ce qui se présente devant moi.

"Rentre ta langue dedans" en me tordant méchament les tétons. Cette fois je ne peux pas retenir un cri et ce faisant, je fais une pause bien involontaire dans mes caresses.

"Je ne t'ai pas dit d'arrêter alors continue!" ordonne-t-elle. Cette fois je m'applique et au bout d'une petite minute elle redescend son bassin et me met son petit bouton à portée de langue.

"Vas y rentre ta langue dans mon vagin, et caresse mon bouton avec ta lèvre!". Je m'exécute. Les torsions sur mes tétons deviennent de plus en plus dures et je sens son ventre bouger différemment, en plus des halètements rauques qui s'échappent de sa bouche. Et soudain c'est l'explosion, un gigantesque orgasme la submerge tandis qu'elle me pince les tétons avec une f o r c e que je ne croyais pas possible. Je hurle alors qu'elle enfouit mon visage sous son sexe pour profiter jusqu'à la dernière caresse. Puis elle reprend son souffle, et de repositionne sur ma bouche.

"Tu n'as pas intérêt à en perdre une seule goûte petit salaud!" dit elle en commençant à uriner dans ma bouche. Elle se libère par petits jet d'une urine heureusement claire et peu forte. Deux ou trois petites gorgées et le jet est tari.

"Nettoie encore" ordonne-t-elle. Je m'exécute docilement. Elle se relève et finit d'enlever sa robe me laissant apercevoir deux adorables seins dont les tétons sont percés d'anneaux, reliés par une petite chaîne.

"C'était pas mal, mais tu peux vraiment mieux faire. Mais comme c'est la première fois, je vais être généreuse, je vais te mettre 16, me dit-elle". 16! D'après nos accords, la punition pour n'avoir pas été parfait va être douloureuse! Très douloureuse, car Monsieur risque d'être encore moins généreux que Madame..

Je me remets à peine de cette nouvelle, et je pense mentalement à cette punition qui m'attend. Etant donné les cris que Madame a poussés, et sa façon de se tortiller, je pensais avoir frôlé la perfection. J'ose à peine penser à ce qui m'attend avec Monsieur! Mais déjà les événements se précipitent:

"Lève-toi et suis moi" m'intime Madame.

Je la suis immédiatement. De toutes façons, si je ne vais pas assez vite, elle tire sur la laisse et je sens les petites pointes pénétrer ma peau. Le picotement est suffisamment faible pour ne pas faire de lésions, mais assez fort pour se faire remarquer. Nous revenons dans le salon.

Madame s'installe de nouveau sur le canapé, écartant largement ses longues jambes fuselées, et commence à jouer négligemment avec ses anneaux intimes d'une main, tandis que de l'autre elle agace la pointe d'un de ses seins en tirant doucement sur l'anneau qui le transperce. Monsieur est reste debout près de la table basse. Il prend sur le bord de la cheminée une longue et fine baguette de bois, et l'apporte à Madame. Un frisson de peur parcourt mon échine, car je sais bien que cette baguette est là pour strier ma peau, et non pour aider je ne sais quelle plante à pousser. Mais je dois me plier à leurs caprices, dans les limites de ce qui avait été convenu. Le raffinement et le respect qu'ils dégagent m'inspirent confiance, même si je crains un peu pour la douleur qui s'approche. Monsieur vient se placer devant le canapé, à un mètre cinquante environ, et décalé par rapport à Madame.

"Je n'ai encore jamais vu un homme sucer mon mari" me dit Madame. "Viens me montrer comment tu fais, et tâche d'y apporter plus de soins que pour moi. je te conseille même de le faire comme si ta vie en dépendait" me dit-elle avec une lueur perverse dans les yeux, et un éclair de lubricité totale. Je m'approche de Monsieur et me place devant lui.

"A genoux et suce. Et suce bien..." me dit-il sans autre forme de commentaire. J'approche ma bouche de ce sexe que j'ai déjà goûté furtivement. Je pose mes lèvres sur le gland turgescent et me prépare pour une grande première.

"A fond. Je veux sentir ta gorge!". L'ordre claque et sans même réfléchir, j'ouvre grand la bouche pendant que Monsieur f o r c e son sexe au plus profond de moi. Son gland vient taper le fond de ma gorge, provoquant un haut-le-coeur que je n'arrive pas à contrôler. Je me retire immédiatement pour reprendre le contrôle de ma bouche et de ma gorge, au moment même ou une sévère brûlure se fait sentir sur mes fesses. La douleur est exceptionnelle, et n'a rien de comparable avec ce que j'ai subi tout à l'heure. Mon cri est venu tout seul sans que je n'y puisse rien faire.

"Espèce de petit con! Tu le suces comme il veut ou alors je t'arrache la peau du cul à coups de baguette!" me siffle Madame dans l'oreille d'une voix à la fois calme et survoltée. Son ton ne prête à aucune confusion. Les yeux pleins de larmes je récupère lentement de ce coup. Je vois en penchant la tête le bas des jambes de Madame, et surtout ses adorables pied dans les sandales. Mon sexe durcit de nouveau, et je me dis intérieurement que Monsieur mérite le meilleur de moi-même. Je me remets donc en position, et gobe pour la troisième fois aujourd'hui ce sexe qui m'est offert. Cette fois, j'arrive à contrôler mes mouvements et je parviens presque à l'enfourner jusqu'à ce que mes lèvres touchent la base de son sexe.

"Tu vois quand tu fais des efforts, tu y arrives très bien" me dit Madame, tandis que d'une main elle vient agacer mon sexe déjà dur. La caresse est très douce, mais j'y sens uniquement une volonté de faire monter la pression. Car l'heure de jouir pour moi n'est pas encore arrivée. Pour l'instant, je dois remercier mes Maîtres en les comblant. Je commence mes va-et-vient sur ce membre en m'étonnant moi-même de l'état d'excitation dans lequel cela me met. Ou alors la main experte de Madame y est-elle pour quelque chose? Certainement. Il est clair qu'elle doit savoir combler un homme. De mon côté, je sais comment être comblé, mais de là à le faire à un autre homme, c'est plus dur! Je m'applique à moduler les succions et la vitesse des mouvements, en prenant bien garde de ne pas mettre les dents. Je sens Monsieur se détendre, preuve que mon traitement lui plait. Cela me rassure, et ce faisant je me déconcentre un peu et une de mes dents rencontre la chair de Monsieur qui fait un très léger mouvement à peine perceptible. La réponse de Madame est aussi immédiate que dure. Une sensation de brûlure inouïe s'abat sur mes fesses, accompagnée d'un bruit de sifflement suivi d'un clac très évocateur! Une fois de plus, je libère le sexe de Monsieur et je me jette en avant pour tenter d'esquiver cette morsure, tout en poussant un cri strident. Mes yeux sont pleins de larmes et je distingue à peine le pied de Madame qui s'approche. Une fois encore je sens son souffle chaud contre mon oreille, et surtout sa main qui se resserre avec f o r c e sur mon sexe.

"Ecoute-moi bien mon bébé. Tu recommence un coup comme ça, et en plus de t'arracher la peau des fesses, je te garantis que je t'arrache aussi ça!" me dit-elle en pliant mon sexe douloureux de sa main gracile mais puissante, et en tirant sur l'anneau que je porte au sexe, au niveau du frein. Le ton est reste le même: sifflant et calme, mais d'une étonnante détermination. Je sens au plus profond de moi-même que malgré nos accords passés, toute autre digression pourrait bien être réellement douloureuse.

"Je vais m'appliquer Madame" dis-je en me remettant en position.

"Je n'en attendais pas moins de toi." me dit elle en desserrant l'étau de sa main et en reprenant ses va et viens. La perversité de cette femme semble très au-dessus de la moyenne, et son expérience de soumise en fait une redoutable prédatrice. Sachant ce que soumission et douleur veulent dire, elle n'a aucun mal à doser son effort pour produire l'effet désiré. "Je vais te motiver un peu" dit-elle. Et j'entends des mouvements d'air, et je sens la fine baguette qui s'abat une fois de plus sur mes fesses, mais en douceur cette fois. Enfin en douceur, tout est relatif. Mais les coups sont tout à fait supportables. Le rythme est cependant plus soutenu.

Je reprends les mouvements, et au bout de quelques instants je sens le sexe de Monsieur se tendre un peu plus, et je sens son corps commencer à se raidir, annonciateur du plaisir qui monte. Je redouble d'activité et passe mes lèvres tout au long de sa verge, du gland à la base. Je prends une de ses bourses dans ma bouche et la suce goulûment, puis je reviens à sa hampe que je replonge au plus profond de ma gorge. Je maîtrise maintenant un peu mieux mes haut-le-coeur, et je ressens une certaine satisfaction à sentir ce corps qui s'approche tout doucement de l'orgasme. J'accélère le mouvement, tandis que Madame accélère aussi la cadence et la f o r c e des coups de baguette. L'entente entre ces deux personnes est incroyable, à croire qu'ils ressentent tous les deux les mêmes impressions.

Je sens la respiration de Monsieur s'accélérer, son ventre se creuser, et enfin son sexe gonfler, annonçant l'arrivée soudaine d'un flot saccade de sperme chaud. Et le moment attendu mais redouté arrive enfin. Je sens de longs jets saccadés de sperme chaud envahir ma bouche. Je plaque immédiatement ma langue vers le fond de ma gorge pour ne pas m'étrangler, et je continue à sucer avidement ce sexe qui n'en finit plus d'éjaculer. J'ai l'impression que ma bouche va déborder! Puis je sens les derniers spasmes et comme convenu, je bascule la tête en arrière et ouvre la bouche pour libérer un sexe gluant de plaisir, d'où pendent de longs filets de sperme mêlés de salive qui viennent se coller sur mon menton. Madame a arrêté de me masturber et regarde le spectacle d'un regard envieux, mais teinté de perversion.

Tous deux viennent regarder ma bouche emplie de sperme, et je fais de mon mieux pour leur montrer la belle quantité de fluide.

"Maintenant tu peux avaler" me dit Monsieur. Comme convenu, je mélange bien ce cadeau dans ma bouche, comme si je faisais un bain de bouche, puis j'avale. Le goût âcre et amer manque de me faire tourner de l’oeil, mais j'arrive à me contrôler. Je leur montre ma bouche vide et je vois sur leurs visages une lueur de contentement. Une pointe de fierté m'assaille d'avoir réussi à les combler.

"Nettoie-moi maintenant" ordonne Monsieur en tendant vers moi son sexe dégoulinant. Je m'applique alors à le reprendre dans ma bouche, et à bien aspirer pour saisir la dernière goutte. Puis je promène ma langue tout du long pour bien nettoyer son sexe.

"Il t'en reste un peu" me dit Madame en recueillant délicatement du bout de sa langue les quelques filets qui restaient accroches à mon menton. Elle approche alors doucement ses lèvres entrouvertes de ma bouche, et me gratifie d'un baiser à couper le souffle, tandis que nos deux langues se mêlent.

Madame se relève alors, et en tirant ma laisse me fait relever aussi.

"Normalement une pipe comme ça ne vaut guère plus de 6" me dit Monsieur d'une voix presque neutre. Je crois défaillir en entendant cette phrase!

"C'est vrai qu'il à fallu le reprendre à plusieurs fois!" renchérit Madame.

"Mais il faut aussi considérer que c'était sa première fois.

  • Oui effectivement, pour une première fois c'est pas trop mal.
  • Et à la dureté de son sexe, il a aimé.
  • Dans ce cas, je te mets un 12 mais c'est vraiment bien payé!" termine Monsieur d'un ton péremptoire.

Je fais rapidement mes comptes, et je m'aperçois qu'il me manque 12 points pour atteindre les 40 que j'aurais dû avoir en les comblant parfaitement. Ces 12 points vont être particulièrement douloureux, si tant est que je puisse même y résister…

"Bien, il va falloir préparer mon jouet pour le repas, il va être l'heure de déjeuner" dit Madame. "Absolument" répond Monsieur. "Va t'allonger sur la table sur le dos, jambes et bras de chaque côté" dit-elle en me désignant la table basse.

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